Conscience Soufie

Poésie et samâ‘
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Revue CS

Le Numéro 2 de la Revue Conscience Soufie a été consacré aux liens qui unissent soufisme et poésie.

Sayf al-Nûr – L’épée de la Lumière

Sayf al-Nûr – L’épée de la Lumière

Rajâa Benamour, conférencière et chercheuse dans le domaine du soufisme, est marocaine et vit à Casablanca. En novembre 2009, elle vécut une expérience de mort imminente en bloc opératoire sous anesthésie générale.

La Hamziyya De l’imam al-Busîrî

La Hamziyya De l’imam al-Busîrî

Par Idrîs de Vos
L’imam al-Busîrî est né en 1211, dans le sud de l’Égypte, et mort à Alexandrie en 1294. C’est au Caire qu’il poursuivit ses études, notamment littéraires. Il eut également le privilège de compter au nombre des disciples du célèbre soufi Abû al-‘Abbâs Ahmad al-Mursî.

Poème à l’éloge du Prophète Muhammad : Al-Burda – Le Manteau

Poème à l’éloge du Prophète Muhammad : Al-Burda – Le Manteau

Traduction de Néfissa Roty-Geoffroy

مَوْلايَ صَلِّ وَسَلِّـمْ دائِمًا أَبَدًا عَلى حَبـيـبِكَ خَيْـرِ الْخَلْقِ كُلِّهِم
Mawlâya salli wa sallim dâ’iman abadan
‘alâ habîbika khayri khalqi kullihimi
Ô mon Maître, étends Tes grâces, toujours et à jamais,
Sur Ton Bien-aimé, la meilleure de toutes les créatures.

مُحَمَّدٌ سَـيِّدُ الْكَــوْنَيْنِ والثَّقَلَـيْنِ وَالْفَريقَـيْنِ مِنْ عَـرَبٍ وَمِنْ عَجَـمِ
Muhammad est le seigneur des deux mondes, des deux catégories d’êtres
Et des deux groupes, Arabes et ‘Ajamî.

Poème d’Ibn ‘Arabî : Tuhyî idhâ qatalat

Poème d’Ibn ‘Arabî : Tuhyî idhâ qatalat

Son regard ayant tué,
Elle réanime de sa parole
Comme si Jésus elle était
Quand elle rappelle à la vie.

L’expression son regard ayant tué se réfère à l’extinction dans la contemplation (al-fanâ’ fî al-mu-shâhada).
Elle réanime de sa parole implique la réalisation parfaite de la constitution harmonieuse et équilibrée (taswiya) [de l’être humain] en vue de l’insufflation de l’Esprit.

L’Interprète des désirs ou « Turjumân al-Ashwâq » d’Ibn ‘Arabî

L’Interprète des désirs ou « Turjumân al-Ashwâq » d’Ibn ‘Arabî

Par Maurice Gloton
L’Interprète des Désirs (Turjumân al-Ashwâq) et son commentaire occupent une place originale dans l’ensemble de l’œuvre immense d’Ibn ‘Arabî. Ce recueil de poésies amoureuses et mystiques est consacré à Nizhâm, Harmonie, jeune fille d’une beauté et d’une spiritualité exceptionnelles, typifiant l’Essence absolue et la Présence divine dans la Manifestation universelle, dans tous les réceptacles que comporte celle-ci.

Poème du cheikh al-‘Alâwî : Danawtu min hayy Laylâ

Poème du cheikh al-‘Alâwî : Danawtu min hayy Laylâ

À l’instar du Prophète, les soufis voient dans la femme le support de contemplation de Dieu le plus accompli. C’est pourquoi ils « remontent » vers Dieu, vers son « Essence la plus subtile » (al-dhât), en donnant à celle-ci, sur le mode allusif, divers prénoms féminins. Puisés dans le registre de l’amour courtois des anciens Arabes, ces prénoms cèdent parfois la précellence au pronom « Elle » (hiyâ), qui signe, dans son extrême nudité, le Féminin absolu. Les prénoms féminins les plus sollicités par nos poètes sont, en premier lieu, Laylâ, puis Lubnâ et Mayya, ou encore Salmâ, toutes symboles de l’Essence divine, et de l’Éternel féminin. D’autres poètes s’adressent encore à Hind, Su‘âd, notamment.

Poème d’Ibn ‘Arabî : La religion de l’Amour

Poème d’Ibn ‘Arabî : La religion de l’Amour

La religion que je professe
Est celle de l’Amour.
Partout où ses montures se tournent
L’amour est ma religion et ma foi !
L’amour est ma religion (dîn) et ma foi (îmân), car il n’y a pas de religion plus élevée que celle fondée sur l’amour et le désir pour Celui envers Qui je la professe et Qui l’ordonne mystérieusement. Telle est la caractéristique des spirituels de type muḥammadien.

La Corde solide naît d’un soupir

La Corde solide naît d’un soupir

Par Nahid Shahbazi
Mawlana Jalaleddin Rumi dit :
J’ai poussé un soupir ardent qui s’est élevé vers le ciel,
et il est devenu corde
tendue depuis le fond du puits où je suis.
J’ai saisi la corde de mes mains fermes et je suis sorti,
Allègre, le teint rose et les joues remplies.
J’étais au fond d’un puits, vil et sans force,
Le monde entier désormais ne peut me contenir

Association Conscience Soufie
14 avenue de l’opéra,
75001 PARIS
Contact: info@consciencesoufie.com
ISSN : 2777-9289