La réalisation spirituelle est rigoureusement fonction de notre niveau de conscience. Le Réel est là, tel qu’Il n’a jamais cessé d’être, mais notre ego peine à dissiper l’opacité générée par les voiles de l’illusion.
La réalisation spirituelle est rigoureusement fonction de notre niveau de conscience. Le Réel est là, tel qu’Il n’a jamais cessé d’être, mais notre ego peine à dissiper l’opacité générée par les voiles de l’illusion.
En tant que « représentant de Dieu sur terre » (Coran 2 : 30), l’homme a une responsabilité axiale dans la gestion de la planète. Cependant, le ‘‘Dieu’’ du Coran lui-même se montre pessimiste à ce sujet : dans le même verset, les anges, quoique soumis à Dieu, s’interrogent sur le bien-fondé de cette mission confiée à l’homme…
Eric Geoffroy lance ici un appel à vivifier la journée internationale du Vivre ensemble et à nous engager concrètement dans une action, ou dans la diffusion de ce message de paix, car il nous concerne tous sans exception. Un site est dédié à l’événement du 16 mai, vous y retrouverez toutes les manifestations liées à cet événement : https://16mai.org/
Abdellah Cherif Ouazzani, signataire de la pétition pour la création d’une Journée Mondiale du Vivre Ensemble (JMVE), partage avec nous sa vision de la paix et ses fondements coraniques. Son message est simple : Le Coran nous intime l’ordre de faire la Paix !
Par Omar BENAÏSSA
La spiritualité contemporaine enseigne, à l’instar des spiritualités de tous les temps, que la paix universelle n’a de sens que si elle prend racine dans les esprits, dans les âmes, dans les cœurs des individus. Sans la paix individuelle, celle des cœurs, la paix des peuples restera à jamais une utopie, voire une aberration.
Par Éric Geoffroy
Beaucoup de choses ont déjà été écrites ou dites au sujet de la Réalité métaphysique du prophète Muhammad ﷺ : al-haqîqa al-muhammadiyya. Elle enveloppe et illumine, rappelons-le, la personne physique, incarnée dans l’histoire, du dernier prophète de notre humanité.
Nuria Garcia Masip est née en 1978 à Ibiza, dans l’archipel des Baléares. Après des études d’Art, de littérature et de philosophie aux Etats-Unis – notamment avec Seyyed Hossein Nasr – elle découvre la calligraphie arabe à Fès, en 1999. Commence alors une longue quête, qui la conduira de maitre en maitre (Mohamed Zakariya, Hasan Çelebi et Davut Bektaç) entre Washington et Istanbul.
Séduite par la beauté, la simplicité et l’aspect méditatif de cet art, qui ne demande rien d’autre qu’un calame,
de l’encre et la solitude pendant de longues heures, Nuria Garcia Masip s’engage pleinement dans cette voie artistique et initiatique.
Ressentant le besoin d’un véritable guide, elle entend parler d’un maître très connu aux U.S.A., Mohamed Zakariya, qui avait l’ijaza du maître turc Hasan Çelebi. Après lui avoir écrit, elle retourne à Washington en 2001 pour étudier avec lui.
Et puis bien sûr, comme dans toute culture religieuse, il y a des prières spontanées : des prières de demande, d’adoration, qui dépendent uniquement de celui qui prie, et qui n’ont pas de forme prescrite. Pour les désigner, il y a dans la mystique musulmane un très beau mot, qu’on pourrait traduire, le moins mal possible, par « soif ». L’islam, comme toute religion, est nostalgique, c’est un sentiment d’exil qui s’exprime.
Association Conscience Soufie
14 avenue de l’opéra,
75001 PARIS
Contact: info@consciencesoufie.com
ISSN : 2777-9289