Auteur/autrice : Conscience Soufie L

Poème d’Ibn ‘Arabî : La religion de l’Amour

La religion que je professe
Est celle de l’Amour.
Partout où ses montures se tournent
L’amour est ma religion et ma foi !
L’amour est ma religion (dîn) et ma foi (îmân), car il n’y a pas de religion plus élevée que celle fondée sur l’amour et le désir pour Celui envers Qui je la professe et Qui l’ordonne mystérieusement. Telle est la caractéristique des spirituels de type muḥammadien.

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Entrons tous dans la Paix !

Abdellah Cherif Ouazzani, signataire de la pétition pour la création d’une Journée Mondiale du Vivre Ensemble (JMVE), partage avec nous sa vision de la paix et ses fondements coraniques. Son message est simple : Le Coran nous intime l’ordre de faire la Paix !

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Hommage à Abdellah Cherif Ouazzani

Notre ami Abdellah Cherif Ouazzani nous a quittés ce dimanche 3 juillet 2022.
Issu d’un milieu soufi, il était l’un des islamologues et théologiens marocains les plus éclairés et les plus sollicités. C’était une personne très généreuse, toujours au service de la communauté musulmane. Son esprit d’ouverture l’a amené à intervenir au-delà des frontières marocaines, notamment en France, en Algérie et en Afrique noire.

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Conseils de lecture en calligraphie arabe classique

Nuria Garcia Masip est née en 1978 à Ibiza, dans l’archipel des Baléares. Après des études d’Art, de littérature et de philosophie aux Etats-Unis – notamment avec Seyyed Hossein Nasr – elle découvre la calligraphie arabe à Fès, en 1999. Commence alors une longue quête, qui la conduira de maitre en maitre (Mohamed Zakariya, Hasan Çelebi et Davut Bektaç) entre Washington et Istanbul.

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« La mort de Hallâj » par Joseph Maréchal

Par Joseph Maréchal
Du point de vue de l’orthodoxie musulmane, qui eut raison, Hallâj ou ses juges ? La présomption de sainteté personnelle, qu’impose, en faveur de Hallâj, une vue à vol d’oiseau de sa carrière d’ascète, n’est-elle infirmée par aucun fait contradictoire, historiquement démontrable? Grâce à M. Massignon, nous sommes assez bien documentés sur ce point. En effet, le rôle d’ « avocat du diable » a été tenu très activement par l’accusation, au cours des deux procès de Badgad : à tous égards, la conduite et les paroles du prévenu furent épluchées sans bienveillance.

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