Auteur/autrice : Conscience Soufie L

Conseils de lecture en calligraphie arabe classique

Nuria Garcia Masip est née en 1978 à Ibiza, dans l’archipel des Baléares. Après des études d’Art, de littérature et de philosophie aux Etats-Unis – notamment avec Seyyed Hossein Nasr – elle découvre la calligraphie arabe à Fès, en 1999. Commence alors une longue quête, qui la conduira de maitre en maitre (Mohamed Zakariya, Hasan Çelebi et Davut Bektaç) entre Washington et Istanbul.

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Les quatre morts du soufî

Le 16 janvier 2021, Eric Geoffroy a consacré son intervention à la thématique « Les quatre couleurs de la mort initiatique ». Il y a proposé une lecture contemporaine à la doctrine « des quatres morts soufi ». En complément, nous vous proposons ci-dessous un article de Michel Chodkiewicz publié en 1998 qui développe largement les lectures et les pratiques des grands maîtres soufis autour de ces expériences de morts initiatiques.

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« La mort de Hallâj » par Joseph Maréchal

Par Joseph Maréchal
Du point de vue de l’orthodoxie musulmane, qui eut raison, Hallâj ou ses juges ? La présomption de sainteté personnelle, qu’impose, en faveur de Hallâj, une vue à vol d’oiseau de sa carrière d’ascète, n’est-elle infirmée par aucun fait contradictoire, historiquement démontrable? Grâce à M. Massignon, nous sommes assez bien documentés sur ce point. En effet, le rôle d’ « avocat du diable » a été tenu très activement par l’accusation, au cours des deux procès de Badgad : à tous égards, la conduite et les paroles du prévenu furent épluchées sans bienveillance.

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De Murcie à la Mecque, l’itinéraire d’Ibn ‘Arabî

Par Claude Addas
Issu d’une illustre famille arabe, originaire du Yémen mais établie de longue date dans la Péninsule ibérique, Ibn ‘Arabî – de son nom complet Muhammad b. Alî al-Tâ’î al-‘Arabî – voit le jour en ramadan 560 de l’hégire, 1165 de l’ère chrétienne, à Murcia, dans le sharq al-andalus. Sept ans plus tard, sa famille émigre à Séville, capitale andalouse du royaume almohade, où son père exerce des fonctions officielles, vraisemblablement au sein de l’armée.

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Conseils de lecture « Mevlâna Jalâl al-Dîn Rûmî »

Jalâl al-Dîn Balkhî naquit en 1207 à Balkh, et mourut le 17 décembre 1273 à Konya en Turquie. Rûmî était déjà un maître reconnu lorsqu’il croisa la route de Shams Tabrîzî. La rencontre avec cet ascète errant bouleversa son existence. C’était en 1244, à Konya, il devait être âgé de 37 ans environ. Son fils, Sultân Valâd, rapporta de cette recontre que lorsque Rûmi « vit le visage de Shams; les secrets devinrent pour lui manifestes comme le jour. Il vit celui qu’on ne peut pas voir; il entendit ce que personne n’entendit jamais de personne… Il devint amoureux et fut anéanti. »

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