Par Eric Geoffroy
« Ce qui me frappe chez Iqbal, continue-t-elle, c’est une constante recherche de l’unité dans sa vision du monde. Un désir permanent de concilier les principes fondamentaux du Coran et les découvertes de la science. Son ami Bergson disait qu’il fallait apporter un supplément d’âme à la culture occidentale. C’est exactement ce qu’il [Iqbal] voulait faire ».